Le saut à ski : volez au deçu de la piste


Le saut à ski a connu des changements, depuis plus d’un siècle. Avec les nouvelles stratégies de saut, les sauteurs peuvent parcourir une très grande distance. Si, avant, tout le monde, quelle que soit la corpulence, exerce cette activité sportive, actuellement, la plupart des sauteurs disposent d’IMC (Indice de Masse Corporelle) très faible.

Les phases du saut à ski

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Le saut à ski est constitué de trois principales phases. La phase d’élan constitue l’étape idéale pour bien préparer la vitesse optimale au bout du tremplin. En effet, une bonne vitesse constitue le secret d’un saut réussi. Cette vitesse varie selon différents critères, notamment la position d’élan, le poids, l’ergonomie des skis et le relâchement à travers la trace. L’impulsion sur le tremplin constitue la deuxième phase du saut à ski. Bien évidemment, elle doit être lancée au bon moment. En ce qui concerne la phase de vol, quelques critères sont à prendre en compte, notamment le poids du sauteur, la position pendant le vol et la qualité de la petite phase séparant l’impulsion et la position de vol.

Les techniques de vol

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Durant la pratique du saut à ski, le skieur s’envole par le biais d’un tremplin avec un revêtement en matière synthétique pour atteindre une vitesse maximale pouvant aller au –delà de 90 km/h. Il doit se consacrer entièrement à la recherche d’une impulsion suffisante pour pouvoir parcourir une grande distance à travers les airs. Cette impulsion occupe ainsi une place importante sur la réussite en saut à ski. Le sauteur doit, par la suite, s’incliner de manière à ce que son corps soit mieux positionné entre les skis. Il doit veiller à ce qu’une sustentation optimale soit obtenue. Avant d’atterrir, il se redresse pour pouvoir descendre avec le style attendu : les pieds en position « télémark ».